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mon journal

Vendredi 16 janvier 5 16 /01 /Jan 15:03
 

David, le petit copain de Sarah, est un garçon super beau je dois l'avouer. Mais à coté de ça, il représente tout ce que je déteste chez un mec: arrogant, infidèle, misogyne, égoïste, impoli, j'en passe et des meilleurs. Mais même si je déteste ce type, et il le sais bien d'ailleurs, je fais « contre mauvaise fortune bon cœur », car je tiens énormément à mon amitié avec Sarah, et comme elle me dit qu'elle est heureuse avec lui alors... Pourtant il lui a tout fait je crois. Il l'a trompé au moins trois fois, il lui pose souvent des lapins, dés qu'ils sont avec ses amis à lui il lui parle mal, etc... Souvent quand il y a une crise entre eux, c'est à dire au moins une fois par semaine, je réconforte ma meilleure amie et tente de lui ouvrir les yeux: pour moi il n'est avec elle que pour le sexe. Pour preuve: ils ne peuvent pas se voir sans qu'ils couchent ensemble. Vous me direz que ce n'est pas une preuve suffisante. Alors que pensez vous du fait qu'il ne vienne pour ainsi dire jamais quand Sarah à ses règles? Et que les rares fois où il vient durant ces périodes, il insiste pour qu'elle lui fasse une fellation. Non moi je vous le dit, il n'est avec elle que pour le sexe!

Parfois Mon amie reconnais que j'ai peut être raison, mais lorsqu'ils se réconcilient, elle replonge de plus belle. C'est vrai que c'est son premier grand amour, le seul garçon avec qui elle a couché, c'est lui qui lui à tout appris du sexe entre un homme et une femme. Mais ce n'est pas une raison à mes yeux. Mais bon, même si je le déteste, je n'irais jamais jusqu'à les faire rompre.

Plus âgé que nous de 4 ans, il suit des études dans une autre ville que nous. Toutefois il a très vite pris l'habitude de venir une ou deux fois par semaine à l'appartement. Bien souvent; il vient le mardi après midi car ni lui ni Sarah ont cours. Ils en profitent donc pour se retrouver tous les deux. Audrey ayant cours jusqu'à 19h ce jour de la semaine, et moi jusqu'à 15h (ensuite je vais souvent à la médiathèque pour étudier), ils ont tout l'après midi pour faire ce que lui vient chercher.

Pourtant, dans le mois de novembre, j'ai été obligé de rentrer à l'appartement plus tôt que prévu afin de récupérer des cours pour préparer un TD. Tout le long du chemin je souhaitais intérieurement ne pas les trouver dans le couloir de l'entrée, en train de faire je ne sais quoi. Comme je vous l'ai déjà dit, Sarah me raconte toutes leurs petites expériences, tous leurs jeux coquins, et je sais donc toute l'imagination que ces deux là peuvent avoir à ce sujet. Et même si parfois j'aimerai être une petite souris pour voir cela de mes propres yeux, j'aurais trouvé cela embarrassant de me trouver « nez à nez » avec eux à ce moment là.

Arrivée à l'appartement, je colle mon oreille à la porte et n'entends rien de suspect qui m'empêcherais d'entrer. Tout doucement je glisse la clef dans la serrure de la porte, j'ouvre et je passe la tête pour voir si la voie est libre. Tout est calme. Je rentre sur la pointe des pieds, et part en direction de ma chambre. Mais à peine ai-je fait quelques mètres que des petits soupirs en provenance de la salle à manger parviennent à mes oreilles. Inutile de vous dire que je comprenais très bien ce qu'ils étaient en train de faire. Je crois qu'ils avaient déjà du faire l'amour dans toutes les pièces de l'appart, y compris dans la chambre d'Audrey et dans la mienne. D'ailleurs ce jour là, j'avais incendié Sarah quand elle me l'avait dit. Elle m'avait tout juste répondu « ne t'inquiète pas, on ne l'a pas fait dans ton lit, mais juste sur la moquette, et sur ton bureau! ».

Donc ce jour là, ils avaient décidé de rester dans la salle à manger. Je continue mon chemin le plus discrètement possible vers ma chambre. La disposition de l'appartement est tel qu'il n'est pas nécessaire de traverser la salle à manger pour accéder aux chambres, et que l'on peut passer sans être vu. Mais alors que je m'apprêtais à repartir j'ai perçu une augmentation dans les gémissements. Une folle envie de jeter un petit coup d'œil m'envahit... Je savais où me placer pour voir sans être vue. Ma bonne conscience lutta un moment avec ma curiosité, mais cette dernière fut vraiment la plus forte...

En passant ma tête par la porte je ne fut pas vraiment « déçue » du spectacle qu'il m'était donné de voir. Je voulais les voir faire l'amour, j'étais servie. David était allongé sur le canapé et Sarah le chevauchait. Elle faisait monter et descendre son bassin, tandis qu'il lui caressait les seins. Ils étaient bien trop occupés pour s'apercevoir de ma présence. Placée où je l'étais, je pouvais voir le sexe de David disparaître et réapparaitre dans le vagin de ma meilleure amie. Un sexe luisant de la mouille de ma copine. Le premier sexe d'homme que je voyais réellement. J'étais comme fascinée par leur deux corps unis. C'est vrai que ce type était bien foutu. Dommage qu'il soit aussi con car Sarah aurait eu tout ce qu'il faut pour être heureuse! Par moment David se redressait pour venir lui embrasser les seins, je voyais sa langue lécher ses tétons et ses aréoles. J'étais de plus en plus excitée, et je sentais mon sexe s'humidifié. Au bout d'un moment, ils se séparèrent. Je me reculai légèrement pour ne pas trahir ma présence. David se leva, le sexe dressé. Il se dirigea vers la table de la salle à manger, et ce fut à cet instant que j'aperçus le caméscope qui si trouvait. Il était dirigé vers le canapé. Ma meilleure amie et son mec étaient en train de se filmer en train de faire l'amour!!!! Jamais Sarah ne m'avait parlé de ça. Était ce la première fois que cela arrivait? Je n'étais pourtant pas choquée, bien au contraire, cela m'excita encore plus. David saisi le caméscope et avança vers Sarah en la cadrant. Mon amie était en train de faire coulisser deux doigts d'une de ses mains dans son vagin, tandis que l'autre main s'affairait sur son clitoris. David l'encourageait, la dirigeait. Il lui demandait une position, elle s'exécutait avec plaisir, il me semble. David s'agenouilla devant elle, et approcha le caméscope tout tout prêt du sexe de Sarah. J'imaginais très bien le gros plan. Il lui demanda alors de changer de trou. Et bien que de ma position je ne pouvais pas voir, je n'ai eu aucun doute qu'elle obéit. Pendant qu'elle se doigtait, lui la filmait et se caressait en même temps. Je me souviens de la chaleur qui irradiait dans tout mon corps à cet instant. J'aurais aimé les rejoindre. Et je suis certaine que si David avait été différent humainement, je l'aurais fait. Mais je me délectais aussi de mon rôle de voyeuse. David se plaça de façon à pouvoir lécher le sexe de sa petite amie tout en pouvant filmer ce qu'il lui faisait. Ces deux là n'était jamais à court d'idée. Sarah eut un orgasme pour le moins sonore. Bien plus que le jour où elle avait jouis avec moi. David plaça alors de nouveau sa queue raide en elle. Ses coups de reins étaient violents. Sarah l'encourageait. Elle jouis une seconde fois avant qu'il éjacula. Ils reprirent leur souffle, et alors qu'elle approcha son visage du sien pour l'embrasser, il se recula et reposa le caméscope sur la table. Je connais Sarah à la perfection, et l'expression de son visage me faisait comprendre qu'elle était triste. Comment ce mec pouvait agir avec une telle goujaterie envers sa petite amie. J'étais prête à bondir dans la pièce pour lui coller une gifle. Il annonça qu'il allait prendre une douche, et qu'il partirais aussitôt après car il avait rendez vous avec l'un de ses copains pour une partie de jeu vidéo en ligne. Pauvre Sarah, elle était tombée sur ce qui se fait de moins bien dans l'espèce humaine.

Je me cachais vite fait dans ma chambre, puis quand la voie fut libre (David étant sous la douche) je fis la fille qui venait d'arriver. En entrant dans la salle à manger, je laissai échapper un petit « oups » pour marquer ma surprise en « découvrant » Sarah toujours nue sur le canapé. Je lui demandai si je dérangeais, mais elle me dit que non tout en se rhabillant vite fait. Discrètement je vis bien qu'elle dissimulait le caméscope. Je ne dis rien. Tout comme je ne fis aucun commentaire sur ses yeux rouges. À n'en pas douter, elle avait envie de pleurer. Je m'approchai juste un peu vers elle, et l'a pris dans mes bras pour lui faire un câlin et un bisou, qu'elle me retourna. Puis je ne sais pas ce qui me prit, mais je l'embrassai de nouveau, tendrement mais sur la bouche. Juste un petit bisou comme cela. Et si nous n'avions pas entendu David sortir de la salle de bain je ne sais pas si il n'y aurais pas eu un bisou plus poussé encore. Mais ça vous le saurez dans mon prochain article...




melanie_intime@yahoo.fr

Par Mélanie - Publié dans : mon journal
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Vendredi 16 janvier 5 16 /01 /Jan 15:02
 

Depuis leur enfance, Sarah et Audrey ont toujours partagé leur propre salle de bain, tandis que leur parents disposent de la leur. Ce qui veut dire qu'elles ont développé des habitudes d'utilisation bien à elles. C'est donc tout naturellement que ses habitudes se sont appliquées dans l'appartement que nous partageons à présent.

La chose qui m'a le plus surprise, c'est le fait de rentrer dans la salle de bain même si quelqu'un s'y trouve déjà. Personnellement, et je pense que c'est le cas chez beaucoup de gens, j'ai toujours eu l'habitude d'attendre que la place soit libre pour y accéder. Je ne me serais pas vu entrer alors que ma sœur ou ma mère pouvaient s'y trouver. Mais de toute évidence ce genre de pudeur n'existe pas entre elles. La seule précaution qu'elles prennent c'est de frapper à la porte et d'attendre deux ou trois secondes avant de pénétrer dans la salle de bain.

La première fois que cela s'est produit avec moi fut le lendemain de notre installation avec Sarah. J'étais en train de me raser les jambes, et le reste... quand Sarah déboula tranquillement dans la pièce comme si de rien n'était. Visiblement j'ai du faire une tête étrange car mon amie s'est excusée et m'a expliqué cette habitude. Mais elle ne quitta pas la pièce et commença à faire ses propres affaires. Avec le temps je me suis habituée à ça. Et j'ai adopté moi aussi cette manière de faire. Cela à d'ailleurs provoqué quelques situations troublantes ou cocasses entre les sœurs et moi.

Comme je devine la curiosité de certain d'entre vous, je vais vous en raconter une ou deux.

Ainsi quelque temps après la reprise des cours, j'étais rentrée la première à l'appartement. Je savais que ce jour là j'avais deux heures devant moi vu que les filles ne finissaient pas tout de suite. Je profitais toujours de ce jour là pour prendre un long bain relaxant. Je me dirigeais donc dans la salle de bain, je me suis fait couler mon bain avec plein de mousse, j'avais pris mon MP3, et commencé à me relaxer, les yeux fermés. Comme bien souvent dans ces moments là, mon esprit se met à divaguer, et m'entraine souvent dans des pensées érotiques. Ce fut le cas ce jour là. Me sachant tranquille, je profitai de ces instants pour me caresser et me donner du plaisir ( pour ma part je trouve cela très agréable dans un bain). L'une de mes mains commença donc à jouer avec ma poitrine, mes tétons. J'aime les cajoler tendrement, faire glisser mes doigts dessus, frotter les pointes. Tandis que l'autre main avait plongé dans l'eau du bain pour venir se perdre entre mes jambes. Je passais comme toujours dans ces moments là de mon clitoris à mon minou. J'y faisais entrer deux doigts. Lorsque je me caresse dans mon bain, j'ai toujours l'habitude d'avoir des gestes plus lents que lorsque je fais cela dans mon lit ou sous la douche. J'ignore pourquoi mais j'aime mettre plus longtemps à faire venir mon orgasme. Ce jour là je ne changeais rien. Les yeux toujours fermés, une musique douce dans les oreillettes, une main sur mes seins, l'autre jouant avec ma vulve, j'étais bien et j'obtins le fruit de mes caresses en ayant un orgasme très intense et délicieux.

Je suis restée ainsi quelques secondes avant de « revenir sur terre » et d'ouvrir les yeux. Mais à l'instant même où j'écartais les paupières, j'ai connu la plus grande honte de ma vie: Audrey était dans la salle de bain, assise, le regard fixé sur moi, le visage légèrement rosé, mais avec un immense sourire aux lèvres. Si j'avais pu plonger dans la baignoire et n'en jamais ressortir je crois que je l'aurais fait.

« Quel beau spectacle! » m'a-t-elle dit.

Pour ma part je ne pouvais pas articuler la moindre parole. Je me sentais si bête, si honteuse, si gênée. Audrey s'approcha de moi. Elle passa une de ses mains sur mes joues chaudes. Elle me essaya de me réconforter en m'expliquant que je n'avais pas à avoir honte, qu'elle aussi faisait souvent ça dans son bain, qu'elle aussi s'était déjà faite surprendre dans cette situation pour le moins compromettante, et que le spectacle que je lui avais involontairement offert lui avait donné envie de me rejoindre et de participer.

Mais cela ne changea rien à ma honte je vous l'assure. Audrey quitta ensuite la salle de bain. Je me séchai et m'habillai en toute hâte afin de m'enfermer dans ma chambre. Dans le couloir je croisai à nouveau Audrey qui me prit le bras et me dit que cela resterait qu'entre elle et moi, et qu'elle allait immédiatement faire la même chose car je l'avais terriblement excitée! Je ne sais pas comment définir ce que je ressentais à cet instant car j'étais toujours aussi confuse mais soulagée que cela reste un secret. Et un peu fière d'avoir troublé une fille qui avait surement du voir d'autre filles bien plus jolies que moi.

Durant les jours qui suivirent, j'ai eu beaucoup de mal à me trouver dans la même pièce qu'elle. Ma gêne ne passait toujours pas. Et je crois qu'elle le sentait. Elle commença à devenir encore plus douce et gentille avec moi. Un soir elle me rejoint dans ma chambre et m'avoua qu'elle regrettait cette distance glaciale qui s'était instaurée entre nous. Elle me répéta qu'il n'y avait rien de grave et qu'elle avait vraiment adoré vivre cet instant. Puis elle ajouta, le sourire aux lèvres,que si je le désirai, moi aussi, un jour je pourrai la regarder faire...

Heureusement, avec le temps tout revint dans l'ordre et la gêne se dissipa. La seule chose qui a changé depuis, c'est qu'à présent lorsque je me caresse dans mon bain, je n'écoute plus de musique afin d'être certaine d'entendre que l'on frappe à la porte, et que mes fantasmes se nourrissent de cette expérience.



Et vous, cela vous est il arrivé de vous faire surprendre en pleine activité solitaire? Racontez moi



melanie_intime@yahoo.fr

Par Mélanie - Publié dans : mon journal
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Mercredi 24 décembre 3 24 /12 /Déc 10:28
 

Audrey je la connaissais depuis que Sarah était devenue mon amie. Plus vieille de deux ans et demi par rapport à moi, nous avions souvent été dans les mêmes écoles. Mais comme elle est plus vieille que nous, elle était toujours dans les grands quand nous arrivions. Que ce soit en primaire, au collège ou bien encore au lycée. J'avais plus l'occasion de la côtoyer quand je passais voir Sarah. Mais je peux dire que je ne l'a connaissais pas plus que ça. Elle n'avait pas les même ami(e)s que nous, semblait peu se soucier d'Amandine et moi quand nous passions à leur domicile, à tel point que je la trouvais distante et froide.

De plus il faut vraiment le savoir que Sarah et Audrey sont sœurs, tant elles sont différentes. Différentes physiquement déjà: Sarah doit faire 1m60 environ, elle a des formes assez généreuses ,sans être ronde pour autant. Elle doit faire un bon 90 de tour de poitrine, elle a les cheveux longs bruns et légèrement ondulés, tandis que sa sœur est grande, longiligne et doit faire du 85 tout comme moi d'ailleurs. Ses cheveux sont coupés très court et blonds. Les deux seuls points communs que l'on peut voir ce sont leur petit nez en trompette et leurs yeux marrons.

Mais elles sont aussi différentes de caractère. Sarah est aussi extravertie que Audrey est réservée. Du moins d'un premier abord. Car maintenant que je les connais aussi bien l'une que l'autre je sais qu'elles peuvent être aussi clown l'une que l'autre.

Dés les premiers temps de notre installation en commun, Audrey me pris sous son aile. Elle était toujours aux petits soins pour moi, veillait à ce que tout ce passe bien. Quand je lui ai annoncé le nom de mes profs elle s'était renseignée au prés de quelques uns de ses amis pour savoir comment ils étaient et comment il fallait agir pour qu'ils aient une bonne opinion de moi. Si bien que je me suis sentie très proche d'elle. Toutefois il y avait une zone d'ombre en elle qui m'intriguait beaucoup: elle est une fille extrêmement belle, et pourtant je ne l'avais jamais vu avec un garçon auparavant. Et je profitais d'un soir ou Sarah et moi étions seules dans l'appartement pour essayer d'en savoir plus sur Audrey. Cela fit rire très fort mon amie. Elle m'expliqua alors qu'il était normal que je ne l'ai jamais vu avec un garçon puisque « son truc à elle, c'est les filles ». J'en fut totalement surprise. Je ne me serais jamais imaginé ça. Sarah m'expliqua ensuite que la fille qui était sa colocataire et qui était sensée être partie en Allemagne était en réalité sa copine et qu'elles avaient rompu durant l'été! Mais comme Audrey voulait évité que cela se sache , elles avaient décidé de parler d'un échange Erasmus pour expliquer la situation. Mais Sarah m'expliqua aussi qu'elle sentait que sa sœur était de nouveau amoureuse, et que pour n pas que je sois trop surprise quand Audrey ramènerait sa nouvelle copine à la maison, il fallait que je sache la vérité.

Soudain piquée d'une grande curiosité, j'ai soumis mon amie à un véritable interrogatoire qui l'a fit rire, comme à son habitude. C'est ainsi que j'appris que la révélation de l'homosexualité d'Audrey, quand elle avait 16 – 17 ans, fut un choc pour la famille. Mais que ses parents s'étaient fait à cette idée, préférant voir leur fille heureuse avec une femme, plutôt que malheureuse avec un homme. Sarah elle trouvait ça drôle d'avoir une sœur lesbienne, et m'avoua qu'après notre petite séance de caresses, elle avait un peu compris sa sœur. Ensuite Sarah m'expliqua qu'Audrey avait beaucoup souffert de sa récente rupture. Et enfin qu'Audrey avait toujours eu des « canons » comme petites amies.

D'une manière égoïste, je pensai alors à moi. Peut être qu'Audrey saurait m'expliquer le trouble et la tentation qui m'avait submergé lorsque Sarah et moi nous nous étions doigtées. Il fallait absolument que je lui en parle, mais il fallait que je trouve le bon moment, et la bonne manière pour ne pas dire que je parlais de Sarah.

Mais je me connaissais et je savais que j'y arriverai, un jour ou l'autre.



melanie_intime@yahoo.fr

Par Mélanie - Publié dans : mon journal
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Mercredi 24 décembre 3 24 /12 /Déc 10:26
 

Mais revenons à notre installation dans notre appartement. Les premiers jours avec Sarah ont s'est sentie tout de suite plus grandes. Oh cela n'a pas vraiment duré, mais pour la 1ère fois de notre vie nous avions une certaine autonomie vis à vis de nos familles. Bien sur j'appelai ma mère tous les jours (et c'est encore le cas aujourd'hui lool) car on ne coupe pas aussi simplement le cordon qui nous relie à nos parents.

Je me sentais sereine pour aborder cette entrée en fac. Le fait de vivre dans le même appartement que mon amie y était pour beaucoup je pense. Je me suis souvent dit que si j'avais du aller m'installer en cité U, cela aurais été surement différent. D'ailleurs Amandine, mon autre meilleure amie, dont je ne vous ai pas encore parlé, vivait une situation plus difficile puisqu'elle avait emménager dans une autre ville que celle où nous étions, où elle ne connaissait personne, et elle n'avait pas vraiment le moral. C'était la première rentrée que nous passions loin d'elle. Heureusement MSN nous permettait de nous parler et de nous voir tous les jours. Et nous l'avions invitée à nous rejoindre dés qu'elle le pourrait. Mais cela je vous en parlerai une autre fois.

Enfin arriva le jour de la reprise des cours. Audrey, la sœur de Sarah était arrivée la veille. Elle nous confia deux ou trois infos sur la vie de la fac. Moi j'avais pour objectif de suivre des études d'Histoire, Sarah des études de Droit, tandis qu'Audrey, pour faire simple, commençait sa 3ème année en Biologie.

Par Mélanie - Publié dans : mon journal
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Vendredi 19 décembre 5 19 /12 /Déc 14:53
 

Dans les mois qui ont suivi notre petite séance, Sarah a rencontré David, le garçon avec qui elle est aujourd'hui encore. C'est avec lui qu'elle a franchi toutes les étapes d'une relation, du flirt au plaisir physique à 2. bien que ce mec me semble très antipathique et que le courant entre lui et moi ne passe pas du tout, j'étais contente que mon amie soit heureuse.

Sarah avait fait de moi une témoin privilégiée de leur histoire: elle me racontait chacune de leur soirée, de leur rencontre et surtout chacun de leurs faits et gestes. Au début elle me racontait leurs petits bisous, les câlins. Puis se furent les petites caresses sous les vêtements. Un soir, après que David ai glissé une main sous la jupe de Sarah, et que ses doigts s'activèrent sur le clitoris et dans le minou de mon amie, elle passa une heure au téléphone a tout me raconter, tout me décrire de ses sensations, sans oublier les moindres détails!!!!!

Je sais que cela peut choquer des gens que l'on puisse tout se raconter ces choses, mais pour nous il s'agit de quelque chose de tout à fait naturel. Et je reconnais que cela m'amusait et m'excitait même un peu de tout savoir. Et quand leur relation franchit un cap le jour où ils firent l'amour ensemble pour la première fois, et que Sarah perdit sa virginité par la même occasion, ce fut vers moi que mon amie se tourna pour se confier, toujours avec le moindre souci du détail.

Souvent les récits de Sarah furent le moteur de mes propres fantasmes. Je m'imaginais tour à tour être à la place de Sarah... ou de David. Je m'imaginais qu'un garçon me caresse, m'embrasse, passe ses mains sous mes vêtements, me retire mes sous-vêtements. Que ses doigts glissent dans mon sexe, me fasse jouir avec ses mains, sa bouche, son sexe. Tout en me caressant moi même, je m'imaginais faire l'amour avec un garçon doux et tendre, prenant soin de moi et de mon plaisir. Je me faisais jouir toute seule en imaginant le sexe d'un homme entre mes mains, mes lèvres ou dans mon sexe. Mais tout aussi fréquemment, je m'imaginais que j'étais à la place de David et que je faisait l'amour avec Sarah ou bien même une autre fille. Que c'était entre mes bras qu'elle avait du plaisir et que son orgasme était le résultat de mes caresses avec mes doigts, ma langue.

Je jouissais avec la même intensité que mon imagination me porte vers un homme ou une femme.

Par Mélanie - Publié dans : mon journal
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