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mon journal

Mardi 16 décembre 2 16 /12 /Déc 15:47
 

Sarah et moi sommes amies depuis l'école primaire. Nous avons toujours été dans les mêmes écoles. Et même si nous avons suivi des filières différents au lycée, notre amitié est toujours restée aussi forte. Je savais tout d'elle, et elle savais tout de moi. Et puisque nous sommes ici pour tout nous dire, j'ai été la première à savoir quand elle a embrassé un garçon, quand elle a commencé à aller plus loin, et quand elle a perdu sa virginité. Souvent, elle me racontait, et c'est toujours le cas aujourd'hui, ses expériences sexuelles avec son copain.

Je dois aussi avouer une chose: c'est elle qui m'a appris à me donner du plaisir en solitaire... J'imagine que certains ont envie de savoir dans quelles conditions, alors je vais vous le dire.

C'était il y a trois ans. Nous avions fêté l'anniversaire de Sarah chez elle avec des amis, puis le soir j'étais restée dormir chez elle. Nous avions discrètement subtilisé une bouteille de champagne à demi-pleine et nous l'avions monté dans la chambre. Nous l'avions terminée toutes les deux. L'alcool faisant son effet rapidement (puisque nous n'avons pas l'habitude de boire), nous nous sommes mis à oublier nos blocage. Sarah commença à me dire qu'elle avait très chaud. Elle commença à se déshabiller en rigolant autant qu'elle le pouvait. Comme ce n'était pas la première fois que je dormais chez elle, j'avais déjà eu l'occasion de la voir nue. Mais ce jour là elle semblait s'amuser de se promener dans le plus simple appareil devant moi. Puis elle s'allongea sur le lit et se tourna vers moi. Elle me demanda si je n'avais pas chaud moi aussi. Je ne savais pas si c'était l'alcool ou le petit jeu de Sarah qui avait provoqué cela, mais effectivement j'avais très chaud. Elle insista pour que je retire mes vêtements moi aussi. J'avoue n'avoir pas vraiment résisté. Et je me suis retrouvée nue à mon tour à coté d'elle. Je me rappelle son regard parcourant mon corps. J'étais flattée et gênée en même temps.

Déjà à l'époque je me rasai le pubis. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai toujours trouvé ça pas très beau et hygiénique ces poils sur un minou. Sarah elle ne le faisait pas. Et ce jour là, elle semblait visiblement intéressée par mon absence de poil. Elle me dit alors qu'elle trouvait cela trop beau beau et qu'elle voulait que je lui fasse la même chose immédiatement. Je me rappelle avoir éclaté de rire, persuadée qu'elle plaisantait. Mais lorsque je l'ai vu enfiler sa nuisette, et se diriger vers la salle de bain pour en revenir munie de tout ce dont nous avions besoin pour la raser, mon rire se dissipa. Elle posa un cuvette pleine d'eau sur sa table de nuit, ôta sa nuisette, et me tendit un rasoir jetable ainsi qu'une bombe de mousse à raser... Elle s'allongea sur le lit, son pubis dirigé vers moi. Je ne me rappelle pas si il m'a fallu du temps pour accepter, mais je me rappelle bien lorsque je lui ai demandé de me donner une paire de ciseaux afin que j'enlève la plus grande partie de sa toison (même si celle ci n'était pas très épaisse). Cela ne fut pas très facile au début puisque Sarah était toujours en train de bouger à cause de ses fou-rires.

J'ai donc commencé à lui raser le devant de son minou. C'était simple. Et Sarah s'exclamait en disant que c'était beau et que je me débrouillais bien. Elle me conseilla en rigolant d'en faire mon métier! Mais lorsqu'il fallu descendre un peu plus intimement, je me suis sentie beaucoup plus gênée. Sarah avait largement écartée les cuisses, et je me retrouvais pour ainsi dire en « tête à tête » avec son sexe. Jamais notre amitié et notre complicité ne nous avait mis dans une telle situation. Comme je vous l'ai déjà dit, j'avais déjà vu mon amie nue, mais jamais je n'avais vu cette partie aussi intime d'elle... Sarah avait arrêté de rire, moi j'avais de plus en plus chaud, et ma main s'était mise à trembler. Je me rappelle l'étrange sensation qui me parcourait le corps. J'étais littéralement excitée, et en même temps j'étais mal à l'aise et j'avais peur que ma main tremblante ne la blesse. Heureusement cela ne se produit pas. Et quand j'ai eu enfin fini de la raser, je me senti très soulagée.

Je lui rinçai le sexe, et lui essuya. Pourtant, toujours l'esprit embrumé par le champagne, je constatai que l'humidité revenait. Je croisai alors son regard et elle hocha des épaules. Elle me demanda alors de la caresser. Je refusai net. J'avais beau ne pas vraiment être dans mon état normal, je ne voulais pas aller jusque là. Sarah insista, m'expliquant qu'elle était très excitée. Moi aussi je l'étais, mais ce n'est pas pour autant que je lui demandai de me caresser!!!!

Elle insista une nouvelle fois. Je lui avouai alors que je ne savais pas faire, puis que je ne l'avais jamais fait, y compris sur moi même. Elle fut surprise de mon inexpérience dans ce domaine. Elle m'expliqua qu'elle se caressait depuis bien longtemps. Et comme je lui avais rasé le sexe, elle se proposait de m'apprendre à me caresser. Je refusait, mais elle s'avança vers moi. Elle me rappela que je venais de lui avouer que moi aussi j'étais excitée.

Elle m'ordonna gentiment de faire comme elle. Elle s'allongea sur le lit et écarta les cuisses face à moi. Il fallu qu'elle insiste encore deux ou trois fois pour que j'accepte d'en faire de même. Mais mon excitation était beaucoup trop forte. Je me suis alors mise, dans la même position. Nous étions allongées l'une en face de l'autre, le minou tout aussi luisant l'une que l'autre. Elle commença alors à m'enseigner sa connaissance du plaisir en solitaire.

Une de ses mains passait sur l'intérieur de ses cuisses, la caressant lentement, tandis que l'autre main venait se perdre sur l'un de ses seins. Sarah avait toujours eu une poitrine plus volumineuse que la mienne. Et je l'enviais pour cela. Ses doigts jouaient autours de ses tétons dressés. Je faisais de même à présent. Une sensation agréable naissait en moi. La sensibilité de mes seins à cet instant fut une véritable surprise pour moi. Je n'avais jamais eu la tentation de jouer avec jusqu'à ce jour. Un regret aujourd'hui d'avoir perdu tant de temps.

Sarah déplaça la main qui caressait sa cuisse sur son sexe. Elle titilla lentement son clitoris. Puis augmenta le rythme de ses caresses. Par instant elle faisait disparaître deux doigts dans son vagin. Ils ressortaient luisant de mouille. Son regard vert, était devenu si intense qu'il m'hypnotisait presque. Je me caressai à mon tour. Tentant dans un premier temps de suivre le même rythme, et de reproduire les même gestes que mon amie. Mais très rapidement je découvrait ce qui me faisait le plus d'effet. Et je pris mon envol en solitaire. Je me caressai comme bon me semblait. Sarah n'étais plus là que pour nourrir mon plaisir par sa présence. Elle se doigtait avec plus de vigueur que moi. J'aimais, et j'aime toujours aujourd'hui, me caresser lentement en profitant de cet agréable état dans lequel je me trouvais. Si à cet instant Sarah m'avait demandé d'aller plus loin toutes les deux, je crois que je n'aurais pas résisté. Je n'avais jamais été tentée par les choses du sexe avant ce jour là. Mais ma meilleure amie avait ouvert une porte qui ne se refermerait sans doute jamais.

Sarah fut la première à jouir, elle s'approcha alors de moi et me regarda me doigter. Son visage se fixa entre mes jambes. Elle resta spectatrice, mais sa proximité augmenta d'avantage mon plaisir. Pour la première fois de ma vie je découvrit l'étrange sensation de l'orgasme. Aujourd'hui encore je ne sais pas comment le décrire.


Pour écrire ses lignes, je me suis replongée dans mes vieux journaux intimes. Et je vous avoue que cela ma fait revire avec plaisir ce jour là.


Par Mélanie - Publié dans : mon journal
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Mardi 16 décembre 2 16 /12 /Déc 15:46
 

Lorsque la rentrée universitaire arriva, nous avons décidé, avec Sarah, de nous installer dans l'appartement avec une semaine d'avance. Nous voulions simplement nous familiariser avec cette nouvelle ville que nous ne connaissions pas très bien ,avec les transports en commun et les différents lieux dans lesquels nous allions étudier.

Sarah ayant eu son permis dans l'été, nous sommes parties toutes les deux, au volant de sa voiture, à la découverte de cette nouvelle vie, de cette nouvelle ville. Pour ma part j'étais un peu inquiète de vivre avec Sarah et Audrey mais aussi très excitée de passer un nouveau cap dans ma vie. Je n'avais toujours vécue qu'avec ma mère et ma sœur, et j'ignorai si je pourrais facilement m'adapter à une autre manière de vivre.

Heureusement dés le départ, tout se passait à merveille. Notre appartement était génial. Les parents de Sarah et Audrey l'avaient acheté il y a quelques années dans le but précis d'y installer leurs filles, quand celles-ci feraient leurs études. Il se compose d'une grande salle à manger/cuisine, de trois chambres, d'une immense salle de bain, et d'un bureau dans lequel Audrey, qui vivait déjà dans les lieux depuis 2 ans, avait installé une petite bibliothèque. Si nous avions du véritablement louer cet endroit, même à 3, il m'aurait sûrement couté beaucoup plus cher que ce que nous avions convenu pour mon loyer.


Par Mélanie - Publié dans : mon journal
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Mardi 16 décembre 2 16 /12 /Déc 15:43
 

Mon nom est Mélanie, j'ai 17 ans. Je vis dans un petit village de l'ouest de la France. Depuis des années je tiens mon journal intime dans lequel je livre mes états d'âmes, mes expériences, mes rêves, mes chagrins.

Depuis quelques mois, je dévore les journaux intimes que l'on trouve sur les blogs. En particulier, ceux qui relatent la vie très intimes de leurs auteurs. Je ne me serais jamais cru attirer par ce genre de blog, et pourtant j'en suis devenue fan. Alors je me suis dit pourquoi ne pas me lancer à mon tour dans la rédaction d'un journal très intime?Je dois admettre qu'il n'y a pas si longtemps je n'aurais pas eu grand chose à y raconter de croustillant. Mais depuis quelques semaines ma vie est devenue en petit peu plus excitante... Toutefois je voudrai vous avertir que je n'ai pas vraiment de talent d'écrivain, et que pour ce qui concerne certaines parties de mon passé je tacherai d'être la plus précise possible mais que mes récits seront tels que ma mémoire me les restitue et tel que je les ai retranscrit dans mes journaux intimes de l'époque.

Mais procédons par ordre. Comme je ne vais pas mettre de photos de mon visage sur ce blog, pour des raisons de tranquillité, alors je vais me décrire. J'ai donc 17 ans, je fais 1m63, et je fais entre 42 et 45kg. Je suis châtain clair, avec des mèches blondes. Mes yeux sont sont bleus. Je suis de nature très timide, réservée. Ma mère nous élève seule avec ma sœur, et fait du mieux qu'elle peut pour nous donner les moyens d'étudier.

C'est pour l'en remercier que je me consacre au maximum à mes études. C'est ainsi qu'en juillet dernier j'ai obtenu mon bac ES avec mention Bien. Mes études étant la priorité, je n'ai pas eu beaucoup de petits copains. Et cela n'a jamais été très loin avec eux. Tout juste des bisous passionnés, et quelques mains s'égarant sous mon tee shirt. Rien de plus...

Toute fois j'ai deux très bonnes amies, Sarah et Amandine, avec qui je passe le plus de temps possible, quand je sort mon nez des livres.


Durant l'été, j'ai cumulé plusieurs petits boulots afin de mettre de l'argent de côté pour mon entrée en fac. Au départ je devais prendre une chambre en cité universitaire. C'était la seule solution que mes faibles moyens me permettaient d'avoir. Sarah, l'une de mes deux amies, devait elle aussi entrer en fac dans la même ville que moi. Mais ses parents ayant des revenus nettement plus confortable que ceux de ma mère (père médecin et mère prof de lycée), elle devait partager un appartement en collocation avec sa sœur Audrey, et l'une des amies de sa sœur.

Début août, elle m'appela et m'annonça que l'amie de sa sœur partait en Allemagne dans le cadre d'Erasmus, et que si cela m'intéressait je pouvais être leurs colocataires, ses parents y étant favorable. Moi j'y trouvais largement mon compte puisque cela me coutait le même prix pour le loyer, et les parents de Sarah prenaient à leur compte les charges. Et moi je me sentais soulagée de ne pas me retrouver dans les cages à lapins des Cités U. Les parents de Sarah se chargèrent de convaincre ma mère et l'affaire fut conclue.

Par Mélanie - Publié dans : mon journal
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