Le blog de Mélanie
Lorsque nous avons fini de ranger l'appartement, je me suis rendue dans la salle de bain afin d'y faire ma toilette et me mettre en nuisette. Audrey m'y rejoint. Tout en papotant toutes les deux nous faisions ce que nous avions à faire. Lorsque Audrey se déshabilla, je jetai discrètement des coups d'œil dans le miroir pour pouvoir l'observer. Je la trouvai vraiment très belle (et je la trouve toujours très belle). Et même si sa poitrine n'est pas aussi généreuse que celle de sa sœur, Audrey est une fille merveilleusement proportionnée. Ses hanches étroites, son ventre plat, ses jolis fesses légèrement rebondis, une silhouette fine... De plus j'aime sa façon dont son pubis est rasé façon « ticket de métro » comme on dit. Mais avec une petite bande très fine. J'ai déjà eu l'occasion de l'admirer nue mais à chaque fois je ne peux m'empêcher de tomber en admiration...
Au moment où nous allions quitter la salle de bain, Audrey me proposa de dormir avec elle. Elle me rassura en me disant qu'elle ne ferait rien que je ne veuille faire. Le problème c'est qu'en étant dans le même lit qu'elle, c'était évident que j'aurais envie de faire plein de chose (lol).
Nous nous sommes couchées, sagement. Nous avons continué à discuter toute les deux. Elle me raconta sa vrai première histoire d'amour. Elle avait quinze ans, c'était au Pays Basque, dans la maison de vacances que ses parents possèdent là-bas. Elle avait rencontré une fille un peu plus âgée qu'elle. Elles avaient passé pas mal de temps ensemble avant de s'avouer leur attirance mutuelle. Et puis un jour elles ouvrirent leur cœur. Ce fut les premiers baisers, les premiers câlins. Toujours très chaste. Leur histoire dura tout le temps d'un été. Puis à quelques jours de rentrer chacune dans leur région respective, ce fut leur première nuit d'amour. Une nuit de découverte du plaisir à deux, du plaisir physique provoquée par une autre. Je voyais les étoiles qui brillaient dans les yeux d'Audrey quand elle me racontais cette histoire. Elle m'expliqua ensuite qu'elles s'étaient écrit pendant des mois. Elles s'étaient revues régulièrement. Mais la distance n'aidant pas les relations amoureuses, surtout à cet age, la passion s'estompa. Et l'état suivant, même si elles passèrent l'été à s'aimer, la magie avait disparu. Elle resta un long moment avant de reparler, comme si son esprit avait fait un bon de prés de 5 ans en arrière.
J'aurais aimé vivre une telle histoire d'amour. Mais bizarrement même si j'ai été amoureuse par le passé, je n'ai jamais véritablement ressenti quelque chose de très fort comme cela. Avec le recul je me dis que c'est peut être du au fait que les filles m'attirent tout autant et peut être que mon grand amour sera avec femme. Seul l'avenir me le dira.
Lorsque mon amie recommença à discuter, elle relança la conversation sur la soirée que nous venions de passer (lire le chapitre 13). Elle me proposa de me montrer ses sextoys. J'étais tellement curieuse de les voir depuis que j'avais appris qu'elle en avait que je ne me suis pas faite prier. Audrey se dirigea en trottinant vers sa penderie et chercha une boite à chaussures parmi les autres. Elle revint dans le lit en portant dans les mains un boite rose qui ne révélait en rien son contenu pour le moins coquin. Elle en déversa le contenu sur la couette. Je n'en cru pas mes yeux. Il devait y en avoir une bonne quinzaine au moins. Cela allait de la paire de menottes en fourrure rose, aux vibromasseurs et autre godemichés, en passant par un petit canard vibrant, ou des boules de geisha (c'est Audrey qui m'appris comment cela s'appelait et à quoi cela servait – car oui j'étais très innocente sur ce sujet). Elle me les montra un par un. M'expliquant l'utilisation de chacun. Je ne put m'empêcher de lui demander comment cela ce faisait qu'un si grand nombre (à mes yeux) de gadgets soient en sa possession. Elle me raconta que c'était un petit jeu dans leur groupe de se faire ce genre de cadeau de temps en temps, et qu'en plus elle et son ex petite amie s'en était acheté quelques uns pour pimenter un peu leurs moments coquins. Elle me montra celui qu'elle préférait. Il s'agit d'un gode permettant au deux amoureuses qui s'en servent d'être pénétrée en même temps. Un sextoy à double embout si vous préférez.
Tout en le manipulant, Audrey l'air de rien, l'approcha de moi. Elle le fit glisser sur ma nuisette, partant de mon ventre, puis remontant vers ma poitrine. Toujours en discutant. Je la laissais faire, consciente qu'elle irait surement plus loin et de ce qu'elle allait me demander. Elle osa enfin. Elle me demanda si je voulais bien que l'on « s'amuse » toutes les deux avec ce jouet. Je vous avoue que cela me tentait fortement. Mais comme je le lui expliqua, j'étais physiquement toujours vierge, et je n'avais pas spécialement envie que mon hymen soit rompu par un sextoy en plastique. Audrey me dit qu'elle comprenait mais je voyais bien qu'elle était déçue. Elle remis ses gadgets dans leur boite. Elle tenta de dissimuler sa déception en racontant des petites anecdotes au sujet des personnes que je venais de rencontrer dans la soirée. Elle rangea la boite, puis se recoucha à côté de moi. Moi je ne disais rien. Je l'écoutais en réfléchissant. J'avais véritablement très envie d'Audrey à cet instant. Mais je me demandai si cela était bien de faire l'amour avec elle alors que quelques jours auparavant je m'offrais aux caresses et aux baisers de sa sœur. Puis je me dit qu'avec Sarah les choses étaient claires entre nous. Nous étions amies et nous l'exprimions de cette manière (même si pour certains cela peut paraître étrange voir choquant). Je ne voyais plus aucune raison de me retenir de partager un moment tendre avec Audrey.
Je profitai d'un moment où Audrey ne dit plus rien pour la regarder dans les yeux. J'approchai mon visage du sien et je l'embrassai. Elle me laissa faire. Puis détachant ma bouche de la sienne je lui rappelle qu'elle pourrait tout aussi bien me donner du plaisir avec ses mains et sa bouche. Un immense sourire illumina son visage. Elle posa à son tour ses lèvres sur les miennes. Nos langues se caressèrent, s'entremêlèrent. Elle se rapprocha de moi pour murmurer dans mon oreille qu'elle attendait ce moment depuis bien longtemps. Je lui répondis en retirant ma nuisette. Je lui offris mon corps, je me donnai à elle. Ses baisers, ses caresses, sa langue, ses doigts, ses mains tout révélait son expérience. Des frissons parcoururent mon corps à de nombreuses reprises. Sa langue virevoltant sur mes tétons, ses doigts glissant dans mon sexe, ou bien cajolant mon clitoris me donnaient un plaisir inouï. De mon côté je me réjouis de la serrer dans mes bras, de l'embrasser et de la caresser. Faire glisser mes doigts dans sa petite fente humide et la faire gémir de plaisir me remplis de fierté. Bien plus rapidement qu'avec Sarah je parvins à l'orgasme. Un orgasme plus long et plus intense. Dés que je retrouvai mon souffle je posai ma bouche sur son sexe luisant de ses sécrétions. Avec une immense gourmandise ma bouche et ma langue parcouraient son intimité. Mes doigts s'affairaient en elle. Et enfin à son tour Audrey arriva au plaisir. Elle serra encore contre elle, m'embrassant sans cesse, replaçant ses doigts dans mon vagin ou sur mon clitoris. Comme si elle ne voulait plus s'arrêter de faire l'amour. Je la laissai faire. C'était tellement bon. En tout elle me fit jouir trois ou quatre fois. Je lui rendais la politesse autant que possible.
Lorsque nous avons cessé de nous aimer, exténuées, je me suis endormie avec une seule idée en tête, recommencer dés que possible...
melanie_intime@yahoo.fr
merci, venant de toi cela me touche
Mes compliments sont sincères...bon je t'attends toujours chez moi ;)
pensez à elle
accident de voiture avec son père et sa soeur. Assez sérieux mais tous hors de danger maintenant. peut être encore une semaine d'hopital pour Melanie
cotes cassées, blessure au niveau du bassin
Vivre avec une femme est génial, je pense qu'il faut une grosse différence de caractère pour que ça marche
Tout ça n'empêche pas de goûter à un gode vivant de temps à autre